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Le temple édifié sur l'ordre de Khéops a été mis à jour !

  • Cela s'est produit au début d'août 1979, après avoir décelé une énorme dalle à l'endroit présumé. De belles dalles circulaires formaient une sorte de plafond sous lesquelles émergeaient d'énormes piliers. Sous peine de voir s'écrouler l'édifice, il fallut d'abord consolider le monument pour poursuivre les travaux de déblaiements avec des moyens techniques complémentaires. Le temple construit sur l'ordre de Khéops a été mis à jour, donnant accès au premier édifice originel qui s'appelait le «Cercle d'Or», celui construit selon les plans des Suivants d'Horus. Aujourd'hui, l'entrée dans ce sanctuaire souterrain est praticable, et on accède à douze cryptes aménagées sur trois niveaux, "renfermant des objets nécessaires à la célébration du culte".

  • C'est à Denderah que ces Grands-Prêtres, arrivés en terre d'Égypte, décidèrent d'implanter cette «Maison-de-Vie» détentrice de tous les Textes Sacrés, et, bien avant de pouvoir jouir de la terre fertile et de l'environnement luxuriant et paisible, il fut demandé un effort prodigieux afin d'ériger sur ce site, ce qui deviendrait le complexe des «mathématiques-combinatoires-divines» et des Annales originelles du «Cœur­Aimé» : Aha-Hen-Ptah, l'Amenta, le Royaume des Ancêtres du Continent Perdu. Le «Cercle d'Or» y serait rétablit scrupuleusement, pour faire le pendant à celui qui existait près de l'observatoire d'Ath-Mer, la capitale de la première patrie engloutie sous les eaux.

  • « Les Survivants » de l'Atlantide avaient débarqué sur la côte occidentale africaine. Ce « Pays du Couchant », le Maroc, porte toujours en arabe son antique nom de «Maghreb-el-Aqsa». Il fut le point de départ des descendants des Atlantes, qui traversèrent le Sahara, autrefois verdoyant et peuplé d'animaux (comme on le voit sur les gravures rupestres de Tassili), car inondé par une mer intérieure. Dans l'Antiquité on appelait encore les habitants du Sud de l'Atlas : "Atlantes". L'interminable exode s'était déroulé sur plus de 8.000 km en suivant à peu de chose près la ligne du « Tropique du Cancer». Le lieu de destination, tant espéré fut enfin trouvé, et appelé Ta Merit en un premier temps, «Le lieu Aimé». Ce nom lui fut conservé jusqu'à ce que le fils de Mena, Ateta, en réinstituant l'écriture, lui donna son patronyme d'alliance avec le Créateur : Ath-Ka-Ptah, le « Deuxième Cœur de Dieu ». C'est durant la cérémonie religieuse consacrant ce baptême que se produisit la fameuse conjonction Sirius-Soleil de l'an 4244 avant J-C. Après l'engloutissement de l'Atlantide, après le terrible exode des survivants, c'était une Résurrection non seulement des fils des rescapés, mais une renaissance de la Vie elle-même au sein de cette seconde Mère-Patrie, dès l'an 424 avant notre ère, date à laquelle on situe l'institution du Calendrier et le système des cycles sothiaques.

  • Il semble bien difficile d'admettre une telle ingéniosité et une telle intelligence chez ces ancêtres venus d'ailleurs et ayant une telle connaissance de la mécanique céleste au point d'en décortiquer très exactement les rouages sur un cycle de 1461 ans ! C'est pourquoi il a fallu quinze générations d'architectes pour concevoir les plans du premier complexe des «combinaisons-mathématiques-divines» de Denderah. Il comprenait le temple de "la Dame du Ciel", au sommet duquel était un observatoire à ciel ouvert, attenant à la salle contenant la carte du ciel du jour du Grand Cataclysme. Dans l'édifice religieux, juste à côté, la « Maison-de-Vie » était l'école qui enseignait la mathématique combinatoire des mouvements célestes diurnes et nocturnes. Par un passage souterrain, ce lieu communiquait avec le «Cercle d'Or», monument gigantesque, qui reproduisait sur Terre toutes les possibilités de combinaisons géométriques des Fixes, les étoiles, et des Errantes, les planètes. Les Grands-Prêtres formaient là les « Maîtres de la Mesure et du Nombre », ceux qui étudiaient les aspects bénéfiques astraux afin de les promouvoir aux humains pour que reste parfaite l'harmonie reliant le Ciel à la Terre. Mais depuis, il s'est écoulé plus de six mille ans ! Notre mental est presque incapable de concevoir une seule pensée en rapport avec cet événement primordial. C'est pourquoi, il y a déjà deux millénaires, ce monument avait disparu, comme rayé de la surface du globe.

Intérieur du temple

Les survivants de l'ATLANTIDE (Les rescapés d'Aha-Hen-Ptah)

Pour beaucoup, toute cette histoire de l'Atlantide est devenue sous la plume de Platon une légende. C'est pourtant le prêtre égyptien de Saïs qui avait relaté cette histoire de l'Atlantide à Solon, un des sept Sages de la Grèce antique, d'après Platon, illustre philosophe, et celui-ci n'en est que le transcripteur. Nous avons d'innombrables témoignages de l'Atlantide, ne serait-ce que des noms comme l'Atlas, au Maroc, ou l'Océan Atlantique, ou ce grand sphinx et les prodigieuses connaissances des anciens Égyptiens de l'Ancien Empire inscrites dans le plus extraordinaire édifice qui se trouve en Égypte : la grande pyramide de Gizeh.

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Note, Albert Slosman, auteur du livre “Et Dieu ressuscita à Denderah”, montre déjà le renouveau de ce peuple dont l'origine se perd dans la nuit des temps. Car l'antique civilisation pharaonique fut le berceau du monothéisme le plus antique. Tous les textes s'accordent pour qualifier Ptah l'Unique de Seigneur Eternel Tout-Puissant. Idem pour Ra. Atum, également. Il faut le rappeler, c'est dans un second temps que le polythéisme se répandit en Égypte tandis que les prêtres devenaient nombreux et omnipotents.

Suivants d'Horus : Rois prédynastiques mythiques qui suivaient la Voie d'Horus. (retour)

Maison de Vie : nom donné au temple par les Anciens Égyptiens. (retour texte)

« L'histoire complète de la dernière famille royale d'Aha-Hen-Ptah, nom de l'Atlantide, est écrite dans le premier tome d'une série de trois consacrée au monothéisme : "Le Grand Cataclysme". Ceci chasse la théorie longtemps ancrée dans la science officielle, qui est que tout ce qui est à dit sur Dendérah n'est que racontar mythologique. On savait aussi que Pepi 1er avait travaillé au temple d'Hathor à Denderah, qui existait, suivant la légende, depuis les temps les plus reculés.
«Ce n'est pas par de simples déductions ou des inventions farfelues que je suis parvenu à réécrire la véritable histoire de Denderah. Non seulement je me suis rendu à maintes reprises en Égypte, sur place, afin de vérifier certains points importants ; mais j'ai eu la chance de retrouver au cours de mes recherches patientes dans plusieurs archives de bibliothèques françaises et égyptiennes des documents authentiques oubliés dans des armoires poussiéreuses. Comme Ch. Dupuis, je pouvais assurer que « je savais qu'Athènes était une colonie de l'Égypte, et que c'était là que les philosophes grecs avaient puisé toutes leurs connaissances astronomiques ». Mais ceci est une autre partie de l'histoire antique qui doit être connue.». (retour)

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