Fantastique découverte à Denderah : le labyrinthe
souterrain
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Les
plus éminents égyptologues français se sont
succédés sur le site de Dendérah, effectuant
un remarquable travail afin de dégager l'ensemble du temple
complètement ensablé à l'époque. C'est
donc là qu'un travail efficace a été effectué
sans publicité et l'on peut suivre l'état de leurs
recherches uniquement par la publication de leurs travaux. Le vicomte
E. de Rouge remet un rapport à son retour d'Égypte
en 1864 :
« Un souterrain fut découvert par hasard dans la partie
méridionale du temple de Dendérah. Son entrée
était bien dissimulée par une pierre mobile décorant
la salle. Elle donnait accès à une suite de couloirs
et de chambres où devaient s'accomplir des épreuves
initiatiques ».
MARIETTE a écrit dans son « Denderah » :
« Les cryptes communiquent avec le temple de Dendérah
par des passages étroits qui débouchent dans les salles
sous la forme de trous aujourd'hui ouverts et libres. Mais ils étaient
autrefois fermés par des pierres ad hoc, dont la face tournée
vers la muraille était sculptée comme le reste du
mur».
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Hérodote, dans son Histoire de l'Égypte, parle d'un
grand labyrinthe de 3.300 chambres qu'il situe ailleurs. Mais il
ne fait aucun doute que ce fut le seul de cette importance jamais
construit dans ce pays. Une bonne centaine d'auteurs gréco-latins
lui emboîtèrent le pas, parlant de multiples souterrains
égyptiens aux dédales innombrables, mais donnant en
aucun cas une origine antérieure à deux millénaires
avant Jésus-Christ.
Comme il existe de très nombreuses appellations concernant
le Roi qui ordonna la construction de ce site de Dendérah,
qui ne fut plus connu ultérieurement que comme le «
Grand Labyrinthe » ou la « Mère des Ruines »,
citons les plus usités : Osymendias, Mendès, Menès.
Il s'agit évidemment d'une seule personnalité, celle
connue en hiéroglyphe comme étant MENA. Ce nom fut
pris par le premier Unificateur des Deux-Terres en souvenir de «
Ta Mana », le lieu où abordèrent les Survivants.
Il fit ainsi un pont avec les « Couchés» ou les
« Endormis » d'Aha-Men-Ptah. Son nom devint vite le
symbole de la Renaissance des nouvelles générations
de Cadets, ceux-là même chargés de créer
le « Deuxième-Cœur » cher à l'Alliance
Nouvelle entre le Créateur et Ses Créatures. Puis,
de siècle en millénaire, de contes en narrations fantastiques,
Mena devint Menès, puis Mendès, en une transformation
dont seuls les Grecs gardèrent le secret phonétique
!
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Aujourd'hui, le visiteur a accès aux douze cryptes aménagées
sur trois niveaux et décorées de hiéroglyphes
représentant le monde souterrain. Ces pièces renfermaient
des objets nécessaires à la célébration
du culte. Suite.
Note d'Albert Slosman :
Il aurait fallu comprendre dès les premiers instants que ce
temple ressuscité de son lointain passé était
un monument important ! Il manquait à tous les savants qui
se sont occupés de cet édifice très particulier,
une connaissance de la mathématique, de l'astronomie, ainsi
que de toutes les sciences nécessaires pour une approche de
la Connaissance tout court. C'est ce travail qu'Albert Slosman a entrepris
depuis 36 ans déjà, et les résultats ont été
publiés en 1980 dans ses livres : « Le
Grand Cataclysme », « Les Survivants de l'Atlantide
» et « Dieu ressuscite à Dendérah »
(Ed. René Beaudouin). Il est bien évident que le résultat
de ses recherches, de ses travaux sur les papyrus et de ses méditations
sur les textes ainsi déchiffrés, peuvent paraître
révolutionnaires... et contraires à la conception officielle
:
“La théologie fondamentale fut retranscrite en hiéroglyphique
lors de la réintroduction de la Langue Sacrée au sein
de la vie populaire. Ce rétablissement eut lieu sous le Sceptre
d'Ateta, deuxième Pharaon de la première dynastie, très
exactement le 19 mai 4244 avant J-C. Cette date est évidemment
précisée astronomiquement, car elle était le
moment exact d'une conjonction Soleil-Sirius, fait céleste
qui ne se produit qu'une fois tous les 1461 ans. Ce fut le premier
jour de Thot, premier mois de l'année égyptienne. Ce
nom est d'ailleurs celui donné plus tard par les grecs qui
tentèrent de phonétiseur Atêta en Athotis, et
donc en Thot. Déjà à cette époque, le
premier temple de Dendérah était construit sous les
fondations mêmes de l'actuel temple.
Ceci est absolument établi grâce à un papyrus
émanant du scribe de Khoufou (le pharaon Khéops des
Grecs). Ce précieux document, conservé au Musée
du Caire, précise que sur l'ordre de Sa Majesté Khoufou,
le Temple de la Dame du Ciel à Denderah sera reconstruit pour
la troisième fois sur le même emplacement, et d'après
les plans établis par les Suivants d'Horus sur peaux de gazelles
et sauvegardés dans les Archives du Roi. L'édifice actuel,
dû à Ptolémée Evergète n'était
que la sixième reconstruction d'un même édifice.
Ainsi, ce qui paraissait inadmissible à la plupart des égyptologues,
est devenu une réalité !”
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